Normes européennes : un défi coûteux pour les constructeurs automobiles
Les normes imposées par l’Union européenne ont un impact majeur sur l’industrie automobile. Leur objectif est de réduire les émissions polluantes et de garantir une meilleure sécurité des véhicules, mais elles provoquent aussi des difficultés importantes pour les constructeurs. Depuis leur mise en place, elles sont au cœur des débats sur l’avenir de ce secteur stratégique.
Pour se conformer aux exigences européennes, les fabricants automobiles doivent mobiliser des ressources considérables. Ils investissent dans le développement de technologies comme les moteurs moins polluants et les batteries pour véhicules électriques. Ces efforts entraînent une augmentation des coûts de production et, par conséquent, des prix pour les acheteurs.
La concurrence internationale aggrave ces défis. Dans des régions comme l’Asie ou l’Amérique du Nord, les règles environnementales sont souvent plus flexibles. Cela permet aux fabricants étrangers de proposer des voitures à des tarifs plus bas sur le marché européen. Les marques chinoises, par exemple, profitent de cet avantage pour commercialiser des véhicules électriques compétitifs.
L’électrification, au centre des priorités européennes, entraîne des changements structurels pour l’industrie. Les chaînes de production doivent être adaptées, ce qui nécessite des investissements significatifs. La production de batteries repose souvent sur des fournisseurs extérieurs, augmentant les coûts et les délais. Par ailleurs, l’absence de bornes de recharge dans de nombreuses zones ralentit l’adoption de ces véhicules par les consommateurs.
Les petites entreprises du secteur sont particulièrement touchées. Elles disposent de moyens limités pour absorber ces coûts supplémentaires. Cela les pousse à réduire leur activité ou à fermer leurs portes, entraînant des pertes d’emplois dans les régions dépendantes de l’automobile.
Le rythme imposé par les normes est une autre source de pression. Les délais sont jugés trop courts par les constructeurs, Pininfarina et ses voitures emblématiques qui réclament davantage de temps pour s’adapter. Ces contraintes augmentent les risques de sanctions en cas de non-respect des règles.
Les acheteurs, eux aussi, subissent ces conséquences. Les véhicules neufs, devenus plus coûteux, sont moins accessibles à de nombreux ménages. Cela renforce le marché de l’occasion, où les voitures anciennes, moins écologiques, continuent de circuler.
Le secteur automobile reste essentiel pour l’économie européenne. Il génère des millions d’emplois et contribue fortement aux exportations. Les difficultés actuelles risquent de fragiliser cette industrie et d’entraîner des répercussions sur l’ensemble de l’économie.
Pour relever ces défis, les constructeurs explorent diverses solutions. Certains misent sur l’innovation, tandis que d’autres privilégient les partenariats pour réduire les coûts. Cependant, ces stratégies demandent du temps avant de produire des résultats tangibles.
Les normes modifient également les attentes des consommateurs. Des campagnes de sensibilisation et des aides financières sont mises en place pour encourager l’achat de véhicules moins polluants. Malgré cela, beaucoup de ménages hésitent face à des coûts initiaux souvent élevés.
Les réglementations européennes reflètent une volonté d’améliorer l’impact environnemental de l’automobile. Cependant, elles imposent aussi des transformations coûteuses et complexes. Les discussions entre les autorités et les acteurs du secteur continuent pour trouver des solutions adaptées à ces enjeux.
La philosophie de William Morris
William Morris, figure éminente du XIXe siècle, est connu non seulement comme un artiste et un écrivain, mais aussi comme un penseur politique influent. Sa philosophie est une synthèse unique de socialisme, d'arts et métiers, et d'écologie. Morris critique les conséquences de l'industrialisation sur la société, prône une transformation radicale des structures économiques et sociales, et valorise l'artisanat et la beauté dans la vie quotidienne.
L'une des pierres angulaires de la philosophie de Morris est son opposition à l'industrialisation et à la production de masse. Il considère que l'industrialisation déshumanise les travailleurs et dégrade la qualité des objets produits. Dans son ouvrage "Nouvelles de nulle part" (News from Nowhere), Morris imagine une société idéale où les machines ne sont utilisées que pour les tâches les plus pénibles, laissant aux humains la possibilité de s'engager dans des travaux créatifs et satisfaisants. Pour lui, le travail doit être une source de joie et d'épanouissement personnel, plutôt qu'une corvée aliénante.
Le socialisme de Morris est profondément lié à sa critique de l'industrialisation. Il croit en une société où les richesses sont équitablement réparties et où chacun a accès aux biens matériels et culturels nécessaires à une vie digne. Il milite pour une organisation communautaire et coopérative de la production, où les travailleurs contrôlent les moyens de production. Morris rejoint la Ligue socialiste en 1884, où il promeut des idées révolutionnaires visant à renverser le capitalisme et à instaurer une société plus juste et égalitaire. Pour Morris, le socialisme n'est pas seulement une question de redistribution des richesses, mais aussi de transformation des relations sociales et de redéfinition du travail et de la production.
L'esthétique joue un rôle central dans la pensée de Morris. Il considère que la beauté doit être accessible à tous et intégrée dans tous les aspects de la vie quotidienne. En réaction à la laideur des produits industriels, Morris fonde la société "Morris, Marshall, Faulkner & Co." en 1861, qui produit des objets d'art et de décoration faits à la main. Cette entreprise, et plus tard la "Morris & Co.", vise à redonner à l'artisanat une place centrale dans la société. Pour Morris, l'artisanat est non seulement une forme de résistance à l'industrialisation, mais aussi un moyen de retrouver une connexion avec le travail et la nature.
L'écologie est une autre dimension importante de la philosophie de Morris. Il est conscient des effets destructeurs de l'industrialisation sur l'environnement et plaide pour une relation plus harmonieuse entre l'homme et la nature. Son amour pour la nature se reflète dans ses œuvres littéraires et artistiques, où il célèbre les paysages naturels et les cycles de la vie. Morris anticipe ainsi certaines préoccupations écologiques modernes, en soulignant l'importance de la durabilité et du respect de l'environnement dans la conception de la société.
Morris voit l'art comme une force potentiellement révolutionnaire. Il croit que l'art véritable peut inspirer les individus à rechercher une société meilleure et plus équitable. Dans ses écrits, il exprime l'idée que la beauté et l'utilité doivent aller de pair, et que l'art doit être démocratisé pour toucher tous les aspects de la vie quotidienne. Cette vision utopique est au cœur de son engagement politique et social.
En outre, Morris est un écrivain prolifique et ses œuvres littéraires sont imprégnées de ses idéaux sociaux et esthétiques. Ses poèmes, romans et essais, comme "La Terre creuse" (The Hollow Land) et "Le Rêve de John Ball", illustrent ses visions d'une société idéale et les luttes pour la justice sociale. Son style est souvent marqué par une richesse de détails et une profondeur émotionnelle, reflétant son engagement passionné pour ses idées.
En somme, la philosophie de William Morris est une critique puissante de l'industrialisation et du capitalisme, associée à une vision utopique d'une société socialiste, écologique et esthétique. Par son travail d'artisan, d'écrivain et de militant, Morris nous rappelle l'importance de la beauté, de la justice sociale et de la durabilité environnementale dans la construction d'un monde meilleur. Son héritage continue d'inspirer les mouvements artistiques et politiques, soulignant la pertinence de ses idées dans les débats contemporains sur le travail, l'écologie et l'artisanat.
Forces aériennes russes en Ukraine: analyse
L'armée de l'air russe a joué un rôle essentiel dans le conflit en cours avec l'Ukraine, mettant en évidence ses compétences et ses limites. Cet essai explore les capacités, les stratégies et les problèmes rencontrés par l'armée de l'air russe depuis l'escalade du conflit en 2022.
L'armée de l'air européenne, qui fait partie des forces aérospatiales russes, dispose d'un grand nombre d'aéronefs de pointe, notamment des chasseurs, des bombardiers et des avions d'attaque au sol. Les avions de combat Su-35 et Su-57, connus pour leur avionique avancée, leur agilité et leurs capacités de furtivité, sont les plus importants. En outre, la Russie dispose d'une flotte d'avions plus anciens mais toujours redoutables, tels que les Su-24 et Su-25. La flotte de bombardiers stratégiques, tels que les Tu-95 et Tu-160, joue un rôle crucial dans les opérations à longue distance, car elle est capable de fournir des charges conventionnelles et nucléaires.
Les méthodes de défense de l'atmosphère de la Russie, telles que le S-400 et le S-300, sont parmi les plus sophistiquées au monde, offrant une capacité défensive substantielle contre les incursions dans l'espace aérien qu'elles contrôlent. Ces systèmes sont conçus pour faire face à de nombreuses menaces différentes provenant de plusieurs directions simultanément, offrant ainsi une sécurité solide pour les forces terrestres et les lieux stratégiques.
Tout au long de la discorde avec l'Ukraine, l'armée de l'air russe a participé activement à diverses opérations, qu'il s'agisse de bombardements stratégiques, d'aide à proximité de l'espace aérien, de reconnaissance aérienne ou de guerre électronique. L'utilisation de munitions à guidage précis continue d'être signalée, dans le but de dégrader l'infrastructure et les caractéristiques militaires de l'Ukraine. Toutefois, l'efficacité et la précision de ces frappes ont fait l'objet de débats et d'analyses intenses.
L'une des tactiques les plus importantes reste l'utilisation d'armes à distance, qui permet aux avions russes de lancer des missiles hors de portée de la plupart des systèmes contra-atmosphériques. Cette méthode minimise le danger pour les avions tout en tentant d'atteindre des objectifs stratégiques. Cependant, le recours à ce type de tactique souligne également les limites de la pression aérienne européenne en termes d'engagement direct et de contrôle de l'espace aérien.
Malgré ses atouts, l'armée de l'air russe s'est heurtée à un certain nombre de difficultés dans le conflit avec l'Ukraine. L'un des principaux problèmes a été la capacité de défense atmosphérique robuste et résistante de l'Ukraine, considérablement renforcée par l'aide occidentale sous la forme de méthodes de défense aérienne portables (MANPADS) et de techniques plus sophistiquées telles que les systèmes NASAMS et Stormer HVM anglais conçus avec des missiles Starstreak. Ces défenses ont augmenté le risque et le coût des opérations aériennes russes, limitant la capacité remarquable à atteindre la supériorité aérienne.
L'asymétrie des stratégies et l'adaptation des technologies constituent un autre défi. Les forces ukrainiennes ont utilisé efficacement les drones ainsi que d'autres tactiques de guerre asymétriques pour contrecarrer les avantages de la puissance aérienne russe. L'utilisation par l'Ukraine d'une technologie de drone peu coûteuse mais efficace a introduit une toute nouvelle dynamique sur le théâtre, remettant en cause la supériorité aérienne traditionnelle que la Russie est censée maintenir.
En outre, l'armée de l'air russe s'est heurtée à des difficultés logistiques et opérationnelles, avion de chasse notamment des problèmes d'entretien et de disponibilité de munitions de précision. Les sanctions et les contrôles à l'exportation ont limité l'accès de la Russie à certaines technologies, ce qui a eu un impact sur la durabilité des fonctions aériennes étendues.
La performance globale de la poussée aérienne russe dans l'affrontement a des implications stratégiques considérables pour la Fédération de Russie, tant au niveau régional que mondial. Les prévisions initiales d'une utilisation rapide et décisive de la puissance aérienne pour dominer l'Ukraine ne se sont pas concrétisées, ce qui a entraîné une réévaluation des objectifs tactiques et stratégiques. L'incapacité à gérer pleinement l'espace aérien ukrainien a empêché la Russie de tirer parti de l'un de ses avantages militaires les plus cruciaux, ce qui a eu une incidence sur l'évolution du conflit.
En outre, les limites et les difficultés observables rencontrées par l'armée de l'air russe ont des répercussions sur la position militaire saine de la Russie sur la scène mondiale. Alliés et adversaires observent attentivement l'efficacité du matériel et des tactiques des services militaires russes, ce qui pourrait influencer les prochains alignements diplomatiques et militaires.
La pression aérienne européenne reste une force redoutable, équipée d'avions et de systèmes de défense aérienne sophistiqués. Toutefois, l'affrontement en cours avec l'Ukraine a soulevé plusieurs défis idéaux et stratégiques qui ont limité son utilité. La résilience et les tactiques d'adaptation des forces ukrainiennes, combinées à une aide internationale considérable, ont considérablement contré les avantages conventionnels détenus par la force aérienne russe.
Au fur et à mesure que la discorde se poursuit, la force de la poussée aérienne européenne continuera probablement d'être mise à l'épreuve. Les résultats ne détermineront pas seulement l'équilibre immédiat des services militaires dans la région, mais auront également un impact sur le futur paysage idéal dans les pays d'Europe de l'Est et au-delà. Les leçons tirées de cette discorde conditionneront sans aucun doute les futures décisions opérationnelles et stratégiques de la force atmosphérique russe.
Plus de preuves Le choix de l’école nuit au rendement des élèves
Une autre semaine, une autre série de preuves que fournir aux parents plus de choix d'école », en particulier le type qui leur permet de se retirer des écoles publiques, n'est pas un moyen très efficace pour assurer aux élèves une amélioration scolaire ou que l'argent des contribuables soit dépensé plus judicieusement.
Les dernières preuves proviennent d'une étude du programme de bons à Washington, DC, qui permet aux parents de transférer leurs enfants des écoles publiques aux écoles privées aux frais des contribuables. L'étude a révélé que les élèves qui fréquentaient une école privée dans le cadre du programme avaient de moins bons résultats aux tests standardisés que leurs homologues des écoles publiques qui n'utilisaient pas les coupons », rapporte le New York Times.
Cette étude s'ajoute à d'autres - de l'Ohio, de l'Indiana et de la Louisiane - constatant que les bons scolaires ont des impacts négatifs sur les élèves.
Malgré ces résultats, de nombreux partisans du choix de l'école soutiennent que l'objectif du choix de l'école n'a jamais été d'obtenir de meilleurs résultats. Il s'agit de choix pour l'amour du choix.
Les résultats ne comptent pas?
Cela semble être l'argument de la secrétaire américaine à l'Éducation, Betsy DeVos, dans sa réaction à la nouvelle de l'échec apparent du programme de coupons DC. Comme le rapporte le Washington Post, le rapport l'a incitée à dire: Lorsque les politiques de choix des écoles sont pleinement mises en œuvre, il ne devrait pas y avoir de différences de résultats entre les différents types d'écoles. »
Cette réaction a frappé l'historienne de l'éducation Diane Ravitch comme une implication que les résultats n'ont pas d'importance. » Elle écrit sur son blog personnel, Si vous analysez cette phrase, ce qu'elle dit, c'est que lorsque tout le monde choisit, aucune des écoles ne sera meilleure que les autres. Ils obtiendront tous les mêmes résultats, même s'ils sont lamentables. Le but du choix est le choix. »
Ravitch pointe un éditorial dans un journal local de DC qui fait valoir que le point de choix est que les parents choisissent les écoles qu'ils croient être les meilleures pour leurs enfants, quelle que soit la nature de l'école ou les résultats de son programme.
L'auteur compare l'éducation aux céréales pour petit déjeuner, arguant que certains parents peuvent préférer Cheerios tandis que d'autres préfèrent d'autres marques. Quel est le problème?
Ce raisonnement s'aligne sur les récents commentaires de DeVos comparant les écoles à toutes sortes de biens de consommation. Comme le rapporte l'Associated Press, dans une récente allocution qu'elle a prononcée lors d'une conférence sur les technologies de l'éducation, DeVos a comparé le choix de l'école au changement de fournisseur de téléphonie. Si vous ne pouvez pas obtenir de service de téléphonie cellulaire dans votre salon », dit-elle, vous devriez avoir la possibilité de trouver un réseau qui fonctionne.»
Dans une autre de ses déclarations sur le choix de l'école, elle a comparé les options d'éducation aux applications de partage de parcours comme Uber et Lyft.
Pour ceux qui y ont prêté attention, les remarques de DeVos ne sont pas surprenantes.
Il y a sept ans, lorsqu'une étude du programme de bons scolaires à Milwaukee est arrivée à une conclusion décevante similaire aux études plus récentes mentionnées ci-dessus, elle a incité Charles Murray - co-auteur du traité d'inspiration eugéniste The Bell Curve - à répondre, essentiellement , Et alors!"
Écrivant dans le New York Times, il a fait valoir que les résultats de l'étude du programme Milwaukee n'avaient pas beaucoup d'importance. L'éducation de nos enfants est extrêmement importante pour nous », a-t-il écrit, et le plus grand bien n'y entre pas beaucoup.» (Point d'ironie: Murray plaide contre l'utilisation des résultats des tests comme mesures significatives du rendement scolaire, mais le titre de son livre tristement célèbre est une référence directe à la façon dont les résultats des tests sont distribués sur un graphique.)
Plus récemment, les rédacteurs de The Economist ont ruminé sur l'étude des bons DC et ont conclu que les résultats négatifs signifiaient: Un parent avec un bon peut réfléchir de plus en plus à deux fois avant de l'utiliser. C'est un bon choix. »
Le choix ultime
Tout cela semble tellement sensé jusqu'à ce que vous preniez en considération que les individus ne paient pas pour l'éducation publique; les contribuables le font. Et les choix que font les parents au sujet de l'éducation de leurs enfants n'affectent pas seulement leurs enfants; ils ont un impact sur l'ensemble de la communauté.
Les entreprises sont libres de créer la demande qu'elles souhaitent sur le marché, que ce soit pour une nourriture au meilleur goût ou pour un service plus pratique, et la façon dont les individus choisissent de répondre à ces demandes ne préoccupe pas le grand public, sauf si elle met en danger des vies ou porte atteinte à libertés. Mais la demande d'éducation est une donnée, elle est universelle et, en fin de compte, elle intéresse toute notre société.
Et personne n'a droit à Cheerios, à un service de téléphonie mobile sans interruption ou à un retour à la maison depuis le bar. Mais tout le monde a droit à une éducation.
De plus, lorsque vous étendez l'argument du choix pour l'amour du choix jusqu'à sa conclusion logique, vous êtes amené à la conclusion que les parents devraient avoir la possibilité de ne pas éduquer complètement leurs enfants. Ne riez pas. Un représentant nouvellement élu à l'Assemblée législative de l'Arizona a récemment déclaré à un journaliste local: La première chose que j'aimerais abroger est la loi sur l'enseignement obligatoire.
L'éducation était un privilège », déplore-t-il. Maintenant, nous le forçons fondamentalement à la gorge de tout le monde. »
Ses commentaires ont incité la journaliste de l'éducation Valerie Strauss à écrire sur son blog au Washington Post, L'éducation obligatoire a une longue histoire dans ce pays, elle est antérieure à celle-ci… L'éducation a longtemps été considérée non seulement comme un billet personnel pour une vie meilleure dans ce pays, mais aussi essentiel à la santé de l'entreprise démocratique. »
Strauss cite un chroniqueur du journal de l'Arizona qui, après avoir lu les opinions de son législateur d'État, a répondu Oh l'horreur, d'essayer de créer une population éduquée. De forcer les enfants à réellement apprendre quelque chose… Beaucoup mieux, je suppose, pour les laisser rester à la maison, ignorants et affamés et donc pas notre problème. Jusqu'à un jour, quand ils le seront. »
Trop important pour le choix
Rien de tout cela ne veut dire que les parents ne devraient avoir aucun choix d'éducation pour leurs enfants.
Mais Carol Burris, une ancienne directrice d'école primée de New York qui dirige maintenant le Network for Public Education, fait une distinction importante sur le choix en matière d'éducation dans son récent commentaire au Washington Post. Les programmes de choix des écoles publiques, s'ils sont soigneusement gérés, peuvent bien servir les élèves et / ou promouvoir un bien social, écrit-elle. Le choix de l'école privatisée, en revanche, est très différent. Le choix d'une école privatisée est le financement public d'alternatives privées aux écoles publiques. » (italique dans l'original)
Burris poursuit en expliquant que le choix des écoles privatisées a souvent eu des conséquences négatives pour la communauté, notamment paralyser le financement de ses écoles locales tout en enrichissant les individus riches et en ajoutant des couches supplémentaires d'administration et de bureaucratie.
Nous avons soutenu l'éducation avec nos deniers publics non pas pour donner un avantage aux enfants », écrit-elle, mais pour bâtir une nation en enseignant à nos enfants les bienfaits de la démocratie dans une école communautaire publique.»
Certaines choses sont tout simplement trop importantes pour le choix.
Dans ma récente conversation avec l'animateur de talk-show progressif à la radio Rick Smith, il a fait cette remarque intéressante en disant: je ne veux pas de choix. »
Il soutient que lorsqu'il tombe malade, il veut avoir accès à un médecin qualifié avec des installations à jour, et pour l'éducation de ses enfants, il veut savoir qu'il y aura une école à proximité avec des enseignants qualifiés qui ont les ressources dont ils ont besoin.
Voyage au-dessus du monde: parapente et perspectives
S'embarquer pour un voyage en parapente, c'est comme embrasser une danse avec les cieux. Le jour où j'ai pris l'air, l'étendue d'azur était parsemée des nuages les plus doux qui soient, laissant entrevoir une promesse de liberté. Alors que mon instructeur vérifiait notre équipement, un mélange d'attente et de nervosité flottait en moi. Le harnais épousait parfaitement mon corps, une étreinte sécurisante avant le saut.
L'instant du décollage n'est rien de moins qu'exaltant. Sous l'effet d'une poussée de vent et d'un saut puissant, le sol s'est dérobé et, soudain, je me suis retrouvé dans les airs. Alors que le parapente captait le flux du vent, un profond silence m'enveloppait, rompu seulement par le sifflement occasionnel de la brise. En bas, le monde entier s'est transformé. Les collines ondulantes et les estuaires et rivières sinueux ressemblaient à des coups de pinceau délicats sur la toile d'un artiste. L'horizon s'étendait à l'infini, une ligne vive où les rêves se confondent avec la réalité.
La sensation de glissement était surréaliste, un équilibre fragile entre le frisson et la sérénité. Chaque rafale de vent est vécue comme une discussion entre le ciel et moi, avec le parapente comme support. L'assistance de mon instructeur était rassurante, une voix tranquille au milieu de l'immensité. Nous avons manœuvré au gré des courants, tantôt en spirale avec un thermique, tantôt en glissant doucement vers un nouveau paysage.
Depuis que nous planons, les oiseaux sauvages sont devenus nos compagnons, intéressés par l'apprentissage de ces étranges créatures qui sont devenues leurs membres à l'intérieur de leur domaine. Leur vol gracieux inspirait l'admiration, une note d'harmonie au sein de la nature. Le monde vu d'en haut était différent, paisible et intact. Chaque vol plané introduisait un nouveau point de vue, une nouvelle gratitude pour l'attrait et l'immensité de la terre.
La descente était un retour progressif, à contrecœur, à la réalité. La terre se rapproche, les détails se précisent à chaque instant. Le contact avec le sol s'est fait en douceur, l'herbe frôlant mes orteils au moment de l'atterrissage. Le monde était familier mais transformé, comme si je voyais tout pour la première fois.
De retour sur la terre ferme, l'euphorie persiste. Mon esprit revit chaque moment, de l'adrénaline du décollage à la tranquillité du vol. Le parapente n'était pas seulement un voyage physique, c'était aussi une exploration des limites et un testament du besoin d'envol de l'esprit. Le ciel m'a étreint, et en revenant, j'ai touché le visage de la liberté.
En réfléchissant à cette expérience, la prise de conscience la plus forte a été le changement de perspective. Vu d'en haut, les complexités de la vie paraissaient plus simples, parapente Orcières les problèmes moins intimidants. L'événement a été un rappel puissant de l'immensité du monde et des possibilités infinies qu'il offre. Il ne s'agissait pas seulement du frisson du vol, mais aussi des idées acquises et des limites repoussées.
Dans les jours qui ont suivi, j'ai levé les yeux plus régulièrement, me remémorant la danse du ciel. Le parapente avait fait naître en moi un sentiment d'émerveillement et une envie pressante de découvrir, d'accepter ce qui ne m'était pas familier. Le ciel m'avait appelé, et j'avais répondu, sûrement que rien ne serait plus jamais comme avant.
En conclusion, mon expérience en parapente a été une expérience transformatrice. C'était un saut dans l'inconnu qui m'a apporté un sentiment inégalé de liberté et une nouvelle connaissance du monde. Les souvenirs de flotter plus haut que la terre, de ne faire qu'un avec le vent, continuent à m'inspirer et à m'élever. Ce n'était absolument pas un simple voyage dans le ciel, mais un voyage intérieur, un vol qui a changé ma façon de voir la communauté et de me voir moi-même. Le ciel, qui était autrefois une canopée lointaine, me semble aujourd'hui un ami familier, accueillant et vaste, offrant des possibilités infinies à ceux qui sont prêts à déployer leurs ailes et à s'élever.
Les revenus de participation
Le revenu de base universel (RBU), un programme dans lequel tous les citoyens adultes reçoivent une somme d'argent régulière qu'ils peuvent dépenser comme bon leur semble, domine le débat sur l'avenir de la politique sociale. Il repose sur l'idée qu'au milieu de l'abondance, des millions de personnes souffrent encore du chômage, du sous-emploi et du manque de moyens pour mener une vie digne de ce nom, et qu'une allocation régulière fournira un seuil de base pour garantir une certaine qualité de vie.
Des systèmes de revenu de base ont déjà été expérimentés en Finlande, au Canada, à Los Angeles (États-Unis) et au Pays de Galles, entre autres. En outre, de nombreux pays ont comblé le déficit de protection sociale dans les périodes difficiles en procédant à des transferts temporaires d'argent liquide sans conditions, comme cela s'est produit en réponse au COVID-19 au Japon, en Corée du Sud et aux États-Unis.
Alors que les débats se poursuivent sur l'impact prévu des nouvelles technologies numériques sur l'emploi en raison de l'automatisation croissante, il existe une crise urgente qui appelle également des changements radicaux en matière de politique sociale : l'urgence climatique.
Le bien-être et non la croissance économique
Les régimes de protection sociale s'appuient tous sur les dividendes de la croissance future de la productivité pour financer l'augmentation des dépenses sociales. Même si la croissance économique pouvait être découplée des émissions, il est peu probable que cela se produise assez rapidement pour arrêter le réchauffement de la planète entre 1,5 et 2°C, ce que les scientifiques estiment nécessaire pour éviter des changements catastrophiques.
Il existe des recherches naissantes sur de nouveaux modèles d'État-providence qui ne reposent pas sur la productivité et la croissance économique, mais sur une architecture de bien-être et de soins durables. L'UBI est l'alternative la plus connue aux États-providence traditionnels. Mais elle ne répond pas au défi de la construction d'une société durable et juste.
Les régimes d'assurance-chômage garantissent à chacun un paiement minimum en espèces. Bakhtiar Zein/Shutterstock
Le fait de recevoir de l'argent "gratuit" n'encouragera pas les gens à utiliser moins d'énergie fossile et à faire moins de choses qui sont actuellement à l'origine du changement climatique. Les systèmes de RBI considèrent également le revenu monétaire comme le moyen de répondre aux besoins fondamentaux, renforçant ainsi le rôle de l'argent dans la vie de tous les jours et ne modifiant pas les relations sociales existantes. Ces systèmes pourraient inciter les responsables politiques à réduire les ressources des services publics.
L'UBI ne cadre pas non plus avec l'appel à un État plus interventionniste pour faire face à l'urgence climatique. Il repose sur l'idée d'un droit individuel au revenu sans reconnaître la valeur de l'action commune ou du comportement réciproque. Les demandeurs risquent de se retirer de la communauté et de ne jamais explorer leur plein potentiel en tant que membres de la communauté.
Revenu de participation
Le modèle original de revenu de participation (PI) a été proposé par l'économiste britannique Anthony Atkinson en 1996. Il est similaire à l'UBI, mais oblige les gens à faire quelque chose en échange de l'argent qu'ils reçoivent. Ces activités peuvent contribuer à la fois à la capacité de la communauté et à celle de l'individu, comme le travail de soins ou la participation à des cours de langue. Dans la plupart des cas, ce sont les demandeurs qui savent le mieux quelles activités seraient appropriées, et cela leur permettrait de s'engager dans une relation de réciprocité avec la société.
Ces activités peuvent inclure le jardinage ou la plantation d'arbres, essentiellement tout ce qui concerne la restauration de la biodiversité et le renforcement des solutions naturelles au changement climatique. L'IP peut même remplacer ou s'intégrer dans les mesures actuelles de la politique du marché du travail qui visent à doter les chômeurs de nouvelles compétences pour réintégrer le marché du travail.
L'IP présente toutefois quelques faiblesses qu'il convient de surmonter. M. Atkinson envisage que presque tous les membres de la société soient éligibles au programme, car le contrôle de l'éligibilité serait difficile et entraînerait des coûts administratifs élevés. Le modèle de l'IP pourrait être revu de manière à ce que le paiement atteigne les personnes à faibles revenus qui dépendent actuellement de prestations sous condition de ressources.
Les personnes pourraient recevoir l'IP en échange de l'apprentissage d'une langue, ce qui pourrait les aider à tisser des liens plus étroits au sein de leur communauté. Pressmaster/Shutterstock
Certaines personnes choisiront également de ne pas prendre part aux activités participatives, mais elles ne doivent pas passer à travers les mailles du filet. Si l'IP était accordée comme un "complément" au revenu minimum garanti, le fait de recevoir l'IP serait perçu comme positif et le fait de la perdre ne pourrait pas être considéré comme une sanction.
En revanche, si les activités participatives sont imposées aux personnes, celles-ci resteront dans une position subordonnée et risquent d'être contraintes d'effectuer des tâches similaires de manière répétée. En permettant aux bénéficiaires de l'IP de choisir leurs activités, on les laisse décider de la manière d'enrichir leur propre vie et celle de leur communauté. Ce modèle pourrait impliquer les organisations communautaires, les prestataires publics et les réseaux de résidents locaux dans la planification d'une série de projets de développement.
Les modèles innovants de sécurité sociale sont particulièrement importants pour les personnes qui ne sont pas en mesure de trouver des emplois verts, ou pour les ménages et les communautés aux ressources limitées, qui n'ont peut-être pas le temps ou l'argent nécessaire pour adopter des technologies d'économie d'énergie ou un régime alimentaire respectueux du climat.
Travailler le parfum
Nous avons terminé un atelier pour comprendre comment les parfums sont fabriqués, et c'était aussi très intéressant. Les parfums fins pourraient avoir plus de 100 composants. Chaque eau de Cologne est composée d'un avis haut de gamme, l'odeur volatile rajeunissante perçue instantanément; un centre conscient ou modificateur, offrant un caractère plein et fort; et un avis de fond, également appelé note d'arrêt ou de base, soyez conscient, le plus prolongé. Les parfums peuvent généralement être étiquetés en fonction d'un certain nombre d'odeurs dominantes identifiables. Le groupe floral de personnes combine ce type d'odeurs comme le jasmin, l'augmentation, le muguet et le gardénia. Les mélanges chauds et épicés attribuent ce type d'arômes à l'œillet, au clou de girofle, au sucre-cannelle et à la muscade. L'équipe ligneuse est considérée comme un de ces types d'odeurs comme le vétiver (dérivé d'une herbe parfumée appelée vétiver ou khuskhus), le bois de santal et le bois de cèdre. Les proches moussus sont dominés par un parfum de mousse de chêne. Le groupe appelé les Orientaux combine des informations boisées, moussues et épicées avec des odeurs assez douces comme la vanille ou le baume et il est généralement accentué par ce type d'odeurs animales comme le musc ou la civette. L'équipe à base de plantes est décrite comme des odeurs de trèfle et de pelouse merveilleuse. Le groupe des cigarettes en cuir caractérise les parfums des cigarettes à base de cuir, ainsi que le caractère fumé du goudron de bouleau. Le groupe aldéhydique de personnes est couvert d'odeurs d'aldéhydes, possédant généralement un personnage fruité. Les parfums destinés aux hommes sont généralement considérés comme agrumes, vivants, cuir, lavande, parfum Lyon fougère ou boisé. Les parfums sont souvent des alternatives alcoolisées. Les solutions, généralement appelées parfums mais également appelées extraits, quantités concentrées ou parfums de mouchoir, contiennent environ 10 à 25% de concentrés de parfum. Les termes eau potable et eau de toilette sont normalement utilisés de manière interchangeable; ces produits se composent d'un couple de -6 pour cent de parfum complètement concentré. En fait, l'eau de Cologne était une combinaison d'huiles naturelles de citron ou de lime de fruits tels que les citrons et les pamplemousses, couplée à ces types de substances comme la lavande et le néroli (huile de fleur d'oranger); les mers de toilettes étaient des types moins centrés d'autres types de parfums. Les lotions après-rasage et les colognes à éclaboussures se composent généralement d'environ 0,5 à 2% d'huile de parfum. Les développements actuels consistent en des aérosols et des huiles de bain hautement concentrées, parfois appelées parfums d'épiderme. Les parfums utilisés pour nettoyer les arômes, les talc, les poudres, les déodorants et les antisudorifiques, ainsi que d'autres produits cosmétiques doivent être créés pour éviter d'être altérés ou devenir instables à l'intérieur de la nouvelle taille moyenne. Ils doivent en outre être formulés de manière à éviter des ajustements insatisfaisants dans la couleur ou l'uniformité du produit. Les parfums industriels sont utilisés pour protéger les odeurs indésirables, comme les peintures et les composants de lavage, ou pour donner une odeur unique, comme en ajoutant des odeurs de cuir aux plastiques utilisés pour les revêtements de meubles et en ajoutant des odeurs de pain aux papiers de couverture utilisés pour les pains.
Jachin et Boaz : Un Symbole de Force et d’Équilibre dans la Tradition Maçonnique
Dans la tradition maçonnique, Jachin et Boaz sont deux piliers qui symbolisent la force et l'équilibre. Ces noms, empruntés à l'Ancien Testament de la Bible, représentent des concepts profonds et spirituels qui sont intégrés dans les enseignements et les rituels de la Franc-Maçonnerie. Cet essai explore le concept de Jachin et Boaz, leur signification symbolique et leur pertinence dans la pratique maçonnique.
L'origine biblique de Jachin et Boaz
Dans la Bible, Jachin et Boaz sont les noms des deux piliers qui ornaient l'entrée du temple de Salomon à Jérusalem. Ces piliers étaient considérés comme des symboles de force, de stabilité et de divinité. Leur présence dans le temple était associée à la protection divine et à la connexion spirituelle.
Les significations symboliques de Jachin et Boaz
Dans la tradition maçonnique, Jachin et Boaz représentent des concepts importants :
a. Jachin : Jachin symbolise la stabilité, la force et la fermeté. Il est associé à la colonne de la sagesse, de la rigueur et de la compréhension. Jachin représente l'aspect masculin, actif et énergétique.
b. Boaz : Boaz symbolise la beauté, l'harmonie et l'équilibre. Il est associé à la colonne de la beauté, de la bonté et de la compassion. Boaz représente l'aspect féminin, réceptif et intuitif.
L'importance de l'équilibre entre Jachin et Boaz
Le concept de Jachin et Boaz souligne l'importance de l'équilibre entre les forces masculines et féminines, entre la rigueur et la compassion, entre la fermeté et la flexibilité. Cet équilibre est considéré comme essentiel pour atteindre l'harmonie et la réalisation personnelle. Il invite les maçons à cultiver ces qualités complémentaires et à les intégrer dans leur vie quotidienne.
L'application de Jachin et Boaz dans la pratique maçonnique
Dans les rituels maçonniques, les piliers de Jachin et Boaz sont souvent représentés ou évoqués pour rappeler aux membres l'importance de l'équilibre et de l'harmonie. Ils symbolisent également la recherche de la vérité, de la sagesse et de la spiritualité. Les enseignements maçonniques invitent les membres à développer leur force intérieure, leur équilibre émotionnel et leur compréhension des principes moraux et éthiques.
La pertinence contemporaine de Jachin et Boaz
Dans un monde marqué par l'instabilité, les conflits et les déséquilibres, le concept de Jachin et Boaz conserve une pertinence contemporaine. Il rappelle la nécessité de trouver un équilibre entre différentes forces et qualités, tant sur le plan individuel que collectif. L'application des principes de Jachin et Boaz peut contribuer à créer des sociétés plus stables, harmonieuses et justes.
Le concept de Jachin et Boaz représente un symbole puissant de force et d'équilibre dans la tradition maçonnique. Ces deux piliers rappellent aux maçons l'importance de cultiver l'équilibre entre des forces complémentaires, la recherche de la sagesse et la réalisation personnelle. En intégrant ces principes dans leur vie quotidienne, les maçons aspirent à créer un monde plus harmonieux et équilibré.
Les hôtels de luxe adoptent des pratiques durables
Les hôtels de luxe sont depuis longtemps reconnus pour l'excellence de leur service, leurs équipements inégalés et les expériences extravagantes qu'ils offrent à leurs clients. Toutefois, les établissements de luxe ont récemment adapté leurs services professionnels pour se concentrer sur les besoins et les désirs en constante évolution de leur clientèle plus aisée.
La manière la plus significative dont les centres de villégiature de luxe adaptent leurs solutions consiste probablement à proposer des expériences personnalisées. Les établissements de luxe savent que leurs clients veulent plus qu'une chambre confortable et une belle vue. Ils veulent vivre une expérience adaptée à leurs goûts et à leurs préférences. C'est pourquoi de nombreux hôtels de luxe proposent des prestations personnalisées, notamment des repas sur mesure, des options de soins de spa et même une literie personnalisée, afin de garantir à leurs clients la meilleure expérience possible.
Les hôtels de luxe adaptent également leurs services en adoptant la technologie. Les hôtels de luxe savent que leurs visiteurs veulent rester en contact, même lorsqu'ils sont en voyage. C'est pourquoi de nombreux hôtels de luxe proposent une connexion Wi-Fi plus rapide, une technologie intelligente dans les chambres et d'autres équipements technologiques pour permettre à leurs clients de rester en contact et de réussir leur séjour.
Les établissements de luxe adaptent également leurs services professionnels en proposant des expériences uniques et originales. Plusieurs centres de villégiature de luxe proposent désormais l'accès exclusif à des manifestations culturelles, des événements sportifs et d'autres expériences qui ne sont pas accessibles au plus grand nombre. Ces rencontres sont souvent adaptées aux intérêts et aux préférences des clients, ce qui leur permet de vivre une expérience unique et inoubliable.
Enfin, les hôtels de luxe adaptent leurs services professionnels en se concentrant sur la durabilité et le respect de l'environnement. De nombreux établissements de luxe utilisent désormais des matériaux et des méthodes respectueux de l'environnement afin de réduire leur empreinte CO2 et de préserver l'environnement. Ils proposent également des rencontres durables, telles que des repas de la ferme au bureau et des routines respectueuses de l'environnement, les meilleurs hôtels de Paris afin de répondre au désir croissant de leurs clients en matière d'efficacité environnementale.
Les hôtels de luxe adaptent leurs services pour se concentrer sur les besoins et les désirs en constante évolution de la clientèle la plus aisée. Des rencontres personnalisées aux équipements techniques, en passant par les rencontres uniques et exclusives et les pratiques de durabilité, les hôtels haut de gamme proposent un large éventail de solutions pour garantir à leurs clients une expérience pratique inoubliable. En évoluant et en s'adaptant, les hôtels de luxe continueront sans aucun doute à offrir un service parfait à leurs clients et resteront une destination de choix pour les voyageurs aisés du monde entier.
La technologie donne le pouvoir aux autocrates
À l'approche des élections iraniennes le mois dernier, l'application de chat audio la plus populaire Clubhouse a accueilli un invité, le ministre des Affaires étrangères du pays, Mohammad Javad Zarif. Des milliers d'Iraniens se sont réunis autour de l'application sur invitation uniquement pour savoir que l'un des politiciens les plus importants du pays parle pendant des heures. Simultanément, les applications de réseaux sociaux comme Twitter et Instagram étaient remplies de conversations sur les prochaines élections. Sur les applications de messagerie cryptées comme Telegram et WhatsApp, des conversations plus critiques avaient eu lieu et des militants anti-régime s'organisaient. Ces ressources électroniques autonomisent les militants, à l'intérieur et à l'extérieur du pays, et offrent aux citoyens une fenêtre sur le fonctionnement du gouvernement fédéral ainsi que sur les opinions non filtrées d'autres personnes. Mais le gouvernement regardait en arrière. En même temps que l'exercice gouvernemental était florissant, quelqu'un en Iran gérait un vaste système de sécurité sur Internet, dans le plus grand secret. En juin, Kaspersky, une entreprise de cybersécurité et de logiciels, a annoncé avoir découvert une campagne sophistiquée de cyberespionnage envers les citoyens iraniens. Le public, que les chercheurs ont surnommé "Ferocious Kitten", des dissidents spécifiques du gouvernement anti-fédéral, ainsi que la possibilité d'infecter les téléphones et les ordinateurs et de capturer des photographies, des mots de passe de sécurité et des frappes au clavier. La campagne s'était déroulée sans être découverte pendant 6 ans. Kaspersky n'a pas immédiatement mis le doigt sur le gouvernement fédéral iranien, mais l'efficace Corps de garde islamique innovant peut diriger des cyberespions et s'est avéré apte à créer des ressources de surveillance. Les centres d'intérêt de "Ferocious Kitten" semblaient être ceux qui étaient hostiles à la routine - exactement ceux qui utilisent d'autres outils électroniques pour s'organiser avant les élections. C'est en fait le défi gouvernemental de l'ère numérique. Au fur et à mesure que les technologies nouvelles et croissantes ont proliféré, elles ont peut-être autonomisé les individus et les communautés. Dans le même temps, ils ont peut-être donné une capacité énorme aux réclamations et à quelques entreprises personnelles. Au sein de l'arène gouvernementale, cette tension est particulièrement aiguë - en fait, cela ressemble plus à une compétition de mains politiques, mais avec la plupart du nouvel arsenal technologique qui est mis de côté et qui exerce déjà une énergie énorme. Des outils électroniques tels que les applications de messagerie cryptées Telegram, WhatsApp et Signal ont donné aux militants la possibilité de s'organiser et de se connecter en secret, sous le regard des gouvernements répressifs. Les réseaux personnels numériques leur permettent de cacher leurs empreintes sur Internet. Ailleurs, de petites entreprises utilisent le pouvoir de l'intelligence synthétique pour rechercher dans les enregistrements vidéo des preuves de violations des droits de l'homme. À Berlin, exactement dans le même bâtiment que Bellingcat, une organisation de renseignement à source ouverte, un groupe appelé Mnemonic rassemble d'énormes archives de preuves électroniques d'atrocités syriennes, qui pourraient s'avérer utiles pour des poursuites à long terme. Dans le même temps, les États et les entreprises privées qui fonctionnent prudemment avec les réclamations ont acquis d'énormes armes techniques à l'ère numérique. Les réclamations possèdent la technologie pour reconnaître les voix et les rencontres, ainsi que la façon dont les gens se promènent, non seulement de près, par exemple dans les aéroports internationaux, mais plus que de bonnes distances ainsi que dans les foules. Ils peuvent suivre les dissidents, en ligne et dans le monde réel, les surveiller, entendre leurs appels téléphoniques, lire des messages et voler des vidéos privées pour le chantage - même changer subrepticement sur des téléphones portables pour enregistrer des cibles inconscientes. L'intelligence synthétique peut analyser de grandes quantités de données pour extraire des mots particuliers du texte et même utiliser des probabilités numériques pour calculer ce que les gens pourraient faire. Parce que les dernières révélations selon lesquelles le programme logiciel « Pegasus » créé par Israël a été utilisé pour pirater les téléphones portables de journalistes, de politiciens et de militants des droits de l'homme, cette technologie a été partagée et échangée. Comme pour le chaton féroce d'Iran, Pegasus a longtemps couru en secret. Le butin de l'ère électronique ne se partage pas de manière symétrique. Un côté devient plus puissant chaque jour. Cette asymétrie fondamentale des avantages des technologies subsistait l'asymétrie déjà naturelle de l'énergie dans les États-nations, dans ces gouvernements déjà détiennent les ressources traditionnelles de contrôle, au sein des forces de l'ordre, des tribunaux ainsi que de l'armée. Quand il semble que l'ère numérique ait affaibli les autorités gouvernementales, et particulièrement les gouvernements répressifs, ce n'est qu'une illusion. En effet, le vaste déferlement d'énergies individuelles du printemps arabe, facilité par les technologies, a fait s'effondrer des régimes longtemps efficaces. Mais comme le montrent la Syrie, et maintenant la Tunisie, le pouvoir naturel des autorités gouvernementales de contrôler les armées et les lois leur permet de repartir.